27/04/2012 Arrivée et re-découverte des lieux

 

Ah, "el Parc Natural dels Aiguamolls de Empordà", c'est vraiment chouette. Faut dire que pour les ornithos français, c'est un peu le "spot" auquel on accède très facilement et rapidement après la frontière. Pour l'avoir déjà visité à plusieurs reprises, je peux vous dire que c'est toujours un plaisir de d'y retourner.

Je peaufinerai le texte une autre fois (peut-être...), mais je pensais que l'ouverture de cette page devait faire ressentir la tendresse printanière et la nouvelle génération qui la découvre elle aussi.

Ce jeune de quelques jours de Poule d'eau (Gallinula chloropus) me parait une bonne illustration.

 

Rester alerte et ne s'étonner de rien
Rester alerte et ne s'étonner de rien

 

Et alors, après...

Quoi, plus d'idées ?

Non ! C'est juste que la météo n'est pas vraiment au rendez-vous.

On fait des observations vraiment sympas, mais photographiquement, c'est pas le super contexte.

Alors on essaie de voir avec ce qu'il y a sur le terrain, d'assez proche, de pas trop farouche, de coloré, et de pourquoi pas dynamique.

Une Cigogne blanche (Ciconia ciconia) dans un pré qui s'ébroue de la rosée du matin ?

OK, pourquoi pas...

 

A l'image du séjour : humide...
A l'image du séjour : humide...

 

Bon, c'est super tout ça, mais rien de super-tripant, genre la méga super-tof du siècle ?

Ben non... Faut dire que si c'était le cas, je me motiverais à présenter le texte un peu mieux.

Par contre, je peux faire des efforts à faire voir un oiseau qu'on entend en général beaucoup plus qu'on ne le voit. C'est un tel chanteur, qu'il continue la nuit, quasiment inlassablement.

Vous voyez qui c'est ?

Bon, ben si vous ne trouvez pas, vous me faites un petit message...

 

Alors..., c'est qui ?
Alors..., c'est qui ?

Puisque vous avez certainement deviné, je vous propose de partir vers la seconde destination du séjour : Belchite.