11/03/2013 On n'a pas toujours ce qu'on veut

 

Et du coup, il faut savoir saisir sa chance lorsqu'elle se présente. En l’occurrence, c'est en allant essayer de photographier le tichodrome que j'ai croisé en chemin ce couple de Rougequeue noir (Phoenicurus ochruros). Ils ont eu la gentillesse de se prêter au jeu, et monsieur en a profité pour sortir le "grand jeu" devant madame (posée en haut à droite de l'image), pas vraiment gêné par ma présence.

On l'aura deviné, le printemps commence à prendre ses marques...

 

Rougequeue noir, Phoenicurus ochruros

 

06/11/2012 La chance ?

 

Ça fait maintenant bien une dizaine d'années que j'arpente les flancs escarpés de ce lieu extraordinaire.

On pourrait dire facilement qu'il n'est que l'image d’Épinal des peintres impressionnistes, mais il réserve bien des surprises pour le naturaliste, et le photographe (qui n'est jamais très loin derrière).

 

J'y retourne aujourd'hui pour essayer une fois encore de réaliser la photo tant espérée du tichodrome, mais c'est une autre surprise qui m'attend.

 

Un oiseau en vol, dont une grande partie du plumage bien blanc, me mets en alerte immédiatement. Il n'y en pas beaucoup dans ce cas là, de cette blancheur. Le relief n'est pas facile pour le suivre, mais je tente ma chance à essayer de le "poursuivre". C'est juste derrière la crête, en prêtant un œil furtif que j'ai eu cette chance...

La scène est malheureusement à contre-jour, mais cette attitude m'a bien plu. Mais elle est d'autant plus exaltante sachant que je n'avais jamais vu cet oiseau ici, malgré l'assiduité.

Comme quoi, on peut en découvrir tous les jours...

 

Niverolle alpine, Montifringilla nivalis
Niverolle alpine, Montifringilla nivalis

 

Et comme un plaisir ne vient jamais seul, j'ai eu aussi la visite intriguée de cette femelle de Rougequeue noir, pendant la "course-poursuite" après la Niverolle...

Non loin du romarin, ça donne une vraie touche provençale, non ?

 

Rougequeue noir, Phoenicurus ochruros
Rougequeue noir, Phoenicurus ochruros